L'hymne de nos campagnes de Tryo

Connaissez vous cette chanson de Tryo ?

A n'en pas douter le groupe Tryo a eu et a toujours un grand succès avec des chansons parfois légères mais souvent très engagées.

Je vous propose d'écouter celle-ci, extraite de l'album "Mamagubida" sorti en 1998 ( durée 3'25 ) dans laquelle ils abordent de nombreux sujets :

• société
• argent
• travail
• écologie
• réchauffement climatique
• appel au développement personnel

Sens possible des paroles :

 

Ils dépeignent la société telle qu'ils l'ont perçu et invitent les plus citadins à prendre conscience que la terre ne se résume pas un horizon de béton et à une consommation aveugle. Il y a 1000 choses à voir et à découvrir.

C'est un appel au retour à la terre, au retour à la vie, à la prise de conscience que chaque chose en ce monde a sa place et que sans la nature et ce qu'elle nous offre il n'y a plus rien pour faire grandir les enfants du futur !

Et après

Cette chanson date de 1998, c'était il y a 20 ans et pourtant depuis est ce que des choses ont changées ?

Les images du clip, crues et parfois choquantes, montrent déjà à l'époque et bien avant L214, des dérives de certaines industries malheureusement au détriment de la vie.

La déconnexion totale entre le besoin naturel de se nourrir et l'exploitation de ce besoin qui ont menés à la situation actuelle.

Et d'ailleurs à quoi ça sert de procéder ainsi ?
Est-ce qu'il y a seulement un sens à cela ?

Voilà des questions qui cherchent toujours de nos jours des réponses.

Ce qui est sûr c'est qu'il est toujours temps et possible de prendre le temps de te poser, de réfléchir et accepter la possibilité de s'être trompé jusqu'ici.

 

Il est toujours temps de changer et d'agir plus respectueusement et en accord avec cette terre qui nous fait vivre et nous permet de vivre.

Réagissez

Et pour vous, cette chanson est elle pleine de sens et de leçons ou alors complètement à côté de la plaque ?

Je vous invite à décrire votre sentiment à ce propos en commentaires. Merci ! 

Eco réfléchi

article initial le 14 juin 2018. Corrigé 24 mars 2020